nom : vanderbilt, comme les palaces vanderbilt, ces célèbres hôtels qui parcourent les États-Unis. ils appartiennent à sa famille. + prénom(s) : juliet, prénom qu'elle déteste, elle n'aime pas être associée à l'idylle de Shakespeare. rosana, identité que personne ne connaît, qu'elle garde pour elle. + surnom(s) : jules, et elle aime franchement mieux se faire appeler comme ça. + âge : vingt-neuf ans,  frôlant la trentaine avec exaspération. + nationalité et origines: de nationalité américaine, elle est née et a grandi à New-York + date et lieu de naissance : vingt-sept janvier, un tardif soir d'hiver, pendant une tempête hivernale. haut, dans le ciel, brillait une lune cachée par les étoiles. elle est née et a grandi dans l'upper east side. + orientation sexuelle : intéressée par la sculpture masculine, elle est hétérosexuelle. + statut civil : jeune femme éclatante de vie mais repoussant les occasions, éternelle célibataire. + occupation : autre que de combattre des monstres et s'entraîner, elle n'en a pas réellement. + groupe : camp half-blood, sa maison.

parent divin : hécate, la déesse de la magie et de la lune. + pouvoir(s) : de sa mère, elle a eu des dons particuliers. la rouquine possède la télékinésie, capacité à bouger les objets, les personnes par la pensée. elle peut s'en servir offensivement comme défensivement. son autre don est la téléportation, pouvant se déplacer simplement en pensant à l'endroit, mais il faut qu'elle l'ait déjà visité. elle peut transporter un maximum de deux personnes avec elle, en leur tenant la main. + arme de prédilection : un arc, composé de bronze céleste et dont le premier embout est tranchant. les flèches sont elles aussi en bronze céleste, pour pouvoir blesser/tuer les créatures. + particularité : reliée, sans qu'elle ne le comprenne, empathie physique incontrôlable, elle ressent ce que cet individu ressent, elle a froid lorsqu'il ou elle a froid... elle ne comprend pas, ne saisit pas comment c'est possible et compte bien faire des recherches, ou du moins... tenter.

Forte de caractère, impossible à mettre à genoux par de simples paroles, elle résiste aux insultes et elle réplique avec brio. Le sarcasme se pointe souvent dans sa voix, se faufile entre ses mots pour tenter d'exaspérer, de décourager l'autre qui lui adresse la parole. Fermement convaincue d'être féroce au combat, elle se déchaîne lorsqu'il vient le temps d'attaquer l'ennemi, de se battre pour ses convictions, pour défendre les siens. Mère poule ou protectrice, appelez-le comme vous le voulez, mais la femme est vue au camp comme une soldat qui protégerait les siens jusqu'à la fin des temps. Elle ne se laisse pas abattre facilement, la tigresse, et elle ne laisse rien l'atteindre. Si bien qu'elle s'est fermée aux relations à long terme. Vingt-neuf ans, sans enfants ni réelles relations qui valent la peine d'être racontées. Elle n'a jamais connu l'amour, le vrai. Elle n'a jamais osé, de peur de l'égarer, de le perdre. Elle a peur de ce que le destin lui réserve, mais le cache si bien qu'on ne le soupçonne pas.
Bienveillante et chaleureuse, elle est agréable lors d'une discussion qui se déroule bien. Elle sourit beaucoup, fait en sorte que la personne se sent à l'aise. Néanmoins, si elle décrète le moindre dégoût, le moindre sentiment négatif, elle est de suite sur ses gardes, et prête à attaquer si besoin est. Elle a déjà usé de son don contre les autres, cela ne serait pas une première. Elle se protège beaucoup, la rousse. Des mensonges, aussi. Franche et honnête, elle déteste les menteurs, les hypocrites et tout ceux qui prétendent être ce qu'ils ne sont pas. Elle est vraie, malgré qu'elle ait été élevée dans une vie recouverte par les omissions, par une fausse identité qu'elle a toujours soupçonnée.
Dyslexique et hyperactive depuis son plus jeune âge, elle a toujours éprouvé des difficultés scolaires. Elle ne tient pas en place, bouge toujours mais avec les entraînements, elle se calme peu à peu.
Depuis la guerre, elle est en proie à un stress post-traumatique. Elle fait sans cesse des cauchemars, revivant les pertes, revoyant le sang et la destruction. Elle ne s'en est pas remise, et peut-être ne s'en remettra-t-elle jamais.

Tu peux parler de la découverte de ses origines divines pour ton personnage, sa réaction, comment il a découvert la colonie/nouvelle rome, comment il l'a vécu au quotidien, sa relation avec son parent divin, son ressenti sur la colonie, le fait de découvrir des frères/soeurs, etc. Pense aussi à mentionner la dyslexie et l'hyperactivité, qui sont des "effets secondaires" du fait d'être un demi-dieu. Huit lignes minimum.