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every night another but not you
kai(nounet) & kingsley
this time my questions lay with you, cause each time inside i play the fool. Silly boy, where did that man go? The one that hurt my soul. Now little man, I left you on your own, with the whispers on your phone. I've been askin' all along

T'avais pensé que ça serait suffisant, que ça te suffirait à avancer, à ne pas te faire plonger dans la nuit et dans des choses qui pourraient ressembler à des cauchemars. T'avais cru, non, t'avais espéré que cette chaleur récupérée comblerait le vide, remplierait le mal-être, remplacerait la douleur. Sauf que tu marchais sur des épines et des débris de verre, miroir brisé et rose fanée, ça s'enfonçait sous dans tes racines , ça lacérait les poumons et la tête surtout. Fallait que tu t'aères, fallait que tu ères sur terre. Sombre, le dehors était comme ça pour te recueillir, ça t'allait, faudrait pas qu'on puisse te voir comme ça, faudrait surtout pas que l'on t'aperçoive dans cet état. T'étais Kingsley, t'avais une réputation à tenir, t'avais des larmes à contenir. Des apparences à garder, des erreurs à terrer. C'était ça Kingsley, c'était tout ce que tu étais. Il fallait juste ne pas oublier les quelques baisers, des parties de jambes à l'air menées où le vent pouvait bien t'emporter puis c'était tout non ? Tu ne voyais rien d'autres à rajouter, non, pas encore, mais t'espérais pouvoir insérer quelques lignes en plus, tu ne voudrais pas qu'on puisse te résumer qu'à ça. Tu ne t'aimais pas quand tu te posais toutes ces questions, c'était pas ton genre, tu avances sans soucis normalement, t'as même pas besoin de te retourner, juste de faire à peu près gaffe à là où tu mettais les pieds. T'étais pas un désespéré ou l'un de ces frustrés, mais t'avais pas pu échapper à l'interrogatoire que ton esprit voulait te faire passer. Le contact de vent t’apaisait déjà mais tu continuais de t'enfoncer entre les ombres, fallait que tous les regrets disparaissent également et c'était une chose qui prenait son temps. T'avançais par toi-même aidé par quelques rayons argentés qui t 'éclairaient entre les fourrées, des racines et tout ce qui pouvait traîner sur le sol pour essayer de te faire tomber. T'avais envie de t'évader mais c'est pas n'est pas une chose que tu pouvais faire. L'astre lunaire ne propageait pas assez de lumière pour que tu puisses t'évanouir entre la verdure et les corps de bois, et tu n'étais pas un de ces enfants qui pouvait démêler les ténèbres. Fallait donc que tu restes planter là à regarder les astres pas trop proche du camp, mais pas si loin que ça non plus, assez loin pour voir personne, mais assez éloigné pour ne pas te perdre, pour revenir une fois que tu te sentiras plus toi-même. Tu soupires oui c'est tout, tu te poses dans sur une cime d'arbre en chute et t'attends là que ça passe. Le dégoût et ce qui suit, de ta personne et de ton passé, ça ne devrait pas tarder à s'en aller. Il y a des bruits de pas, une forme, ça fait tache dans le paysage, ça fait tâche dans la solitude que tu voulais solliciter, c'était rare chez toi, un moment comme ça, où t'étais pas accompagné, où il n'y avait que toi et la borée, alors tu ne voyais vraiment pas comment on pouvait te le refuser. Pourtant, la forme était là, et elle s'approchait comme si de rien n'était. C'était cool, si, il ne pouvait pas te voir, si tu pouvais échapper au regard de cette personne qui sort tard le soir.
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A. Kai-Dewyn Higgins
A. Kai-Dewyn Higgins
+ messages : 172
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King & Kai
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Tu te sens un peu mieux, enfin un peu mieux, cela est vite dit mais disons que tu commence à entre voir certaines choses qui te semblaient fou ou inexistante jusque là. Ce n'est qu'un infirme début mais un début quand même, tu ne compte pas dessus pour autant, tu n'as pas appris à te réjouir du peu d'espoir qu'on t'offrait car beaucoup trop souvent trahi par la vie. Non, tes combats se basent sur des valeurs sûrs et pour le moment, tu n'en as pas tellement. Tu te sens à nouveau pris par l'insomnie ce soir mais cela ne te fait plus rien, tu as abandonné l'idée de retrouver un jour, un sommeil convenable. Tu n'as jamais réussi à dormir tranquillement de toute façon, tu as longtemps vécu dans la rue, à dormir sur une seule oreille au cas où, aujourd'hui en est de même bien que ce soit pire. Tu te sens quand même bien puisque tu as vu Noah il n'y a pas si longtemps, lui qui réussit à t'apaiser au point de t'endormir et profiter un peu de repos bien mériter. Une fois, il a réussit à te faire dormir toute une nuit lorsqu'il a accepté de venir te rejoindre dans ton appartement de New York mais depuis ... pas d'amélioration. Tu ne t'en pas plains, dû moins plus, et tu fais avec. Tu es un homme de la nuit, tu l'as toujours été, que ce soit par ton sang de divin appartenant à la déesse Nyx ou par le simple fait que dans ta vie, tu vivais la nuit afin d'avoir le bagage ou les ressources nécessaires pour survivre la journée. Bref, tu sais que tu vas pas tenir ce soir non plus, à rester éveillé dans ton lit, tu sens le besoin de t'aérer te guetter et tu n'as pas tellement envie non plus de gêner les personnes vivants dans ta maison, bien que l'obscurité et le silence te suffit en temps normal. Tu décide alors de te lever, de t'habiller alors que tu te regardes dans le miroir face à toi pour découvrir tes prunelles de félins, d'un vert émeraude, des yeux apparentés à ceux des chats, en fente et avec des iris assez large. Tu fixes pendant un moment ton propre regard en te demandant pourquoi cette particularité ? Les gens qui t'ont posés la question, voulait absolument une nécessité à cela, alors qu'il en n'est rien. Tu le sais, que ce n'est utile en rien à part faire parler les autres, tout comme ton pouvoir, tout comme ta personne... Tu ne te sens pas essentiel en quoique ce soit ou pour qui que ce soit, dû moins plus maintenant. Ta raison de vivre à toujours été de survivre mais pour quelle raison ? Donner une leçon à la vie qui a décidé de faire de la tienne à enfer, de lui montrer que tu ne compte pas te laisser faire ? Mais pourquoi encore ? Tu ne sais pas finalement, tu existe mais tu ère, tu sens ton corps être mais ton esprit paraître. Tu ne sens pas les choses tourner autour de toi mais plutôt toi qui tourne autour des choses sans but précis, sans désir particulier. Tu veux sans vouloir, tu demandes tu n'exiges pas. Ce n'est pas une faiblesse d'esprit, non, au contraire, c'est tout simplement un constat que tu t'es fait de toi même, tu as réfléchis à ce dont tu avais le plus besoin et finalement tu n'as rien trouver alors à quoi bon s'entacher d'autres choses dès lors où cette question existentielle reste sans réponse ? Bref, tu te mets à secouer de la tête avant de soupirer, enfilant ton pull noir avant de sortir pour l'extérieur. Les mains en poche puisque tu as laissé tes gants à New York, tu réajuste ton écharpe avant te mettre ta capuche de ton sweat pour commencer à marcher. Tu marches sans réellement savoir ou vouloir rejoindre un point précis, tu fais d'abord le tour du Troisième camp avant de finalement t'en éloigner, encore une fois seulement accompagné de l'obscurité et du silence qui te font si bien. Mais finalement en marchant, et sans l'avoir repérer au début, tu sens tes prunelles tomber sur ceux d'un homme qui ne t'es pas inconnu. Tu laisse ton regard émeraude apparaître dans la nuit en te stoppant face à lui. Il te fixe également avec un air certain, pas sûr que ta présence soit souhaiter. Tu le reconnais pourtant, tu sais qui il est, tu sais combien il a été important dans ta vie fut un temps. Tu sens tant de choses te traverser, amour, colère, frustration, haine, compassion, tristesse, mélancolie, pitié, rédemption, gêne, envie ... l'envie ... Tu te fixe sur ça, comme si tu pouvais réussir à choisir quel émotion te domineras. Tu sens cette envie de dire quelque chose grimper en toi mais tu ne sais pas quoi dire. Pourtant tu sens ta bouche s'ouvrir pour laisser échapper un peu de buée avant de déclarer, d'une voix cassé, brisé et rempli de chagrin, " Je suis désolé ... " , tu ne sais pas quoi dire de plus, tu ne n'ajoute pas de mot pour précis, te disant que tu es à la fois désolé pour tout, pour ce qui s'est passé entre vous, pour ce qui ne s'est pas passé. Pour ce qu'il a vécu, ou non. Tu te compte de ces simples mots, ne voulant pas déranger de plus, tu ferme les yeux comme pour laisser à nouveau l'obscurité, les ténèbres reprendre le dessus sur le peu de clarté qui avait réussit à s'installer grâce à tes prunelles émeraudes. Et tu reprends ta marche d'un pas lent comme si rien ne l'avait stoppé, non pas que tu le veuille vrai mais simplement parce que ça l'est sans pourtant qu'elle soit par ton biais ou le sien.
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Les étoiles, c'est que tu mates dans le ciel, c'est beau, c'est simple, c'est loin. Pourtant, t'as l'impression que tu pourrais les toucher, les caresser . C'est peut-être parce qu'il n'y a rien de plus proche pour toi en ce moment, rien ni personne. Il n'y a que la solitude pour t'étreindre, pour t'accueillir, il n'y a que ces petites lumières et celle de la lune pour t’accompagner, t'aider à passer cette soirée plutôt compliquée. Le souffle gronde, tu respires fort, à ce qui paraît, c'est le plus important, respirer profondément, pour se relaxer s’apaiser, fermer les yeux et oublier. Tout. Les gens, les emmerdes, les erreurs, les dieux, les amours du moins ceux que tu baises, les problèmes, les monstres et ce qu'il pourrait bien y avoir d'autre. Mais on ne veut pas que tu puisses faire tout ça, l'autre approche. Tu ne vois rien de lui au début, tu devines juste des choses grâce à ses contours qui se dessinent dans la pénombre. Grande taille, figure athlétique, t'aperçois des muscles, ce sont des traits virils. T'étais prêt à sourire, sourire, parce que rien qu'avec ça, la personne qui se trouvait devant toi te donnait envie, elle pourrait peut-être servir au fait que tu puisses t'assoupir là-bas, vos deux corps entortillés dans un matelas. Tu voulais être seul, mais tu ne cracherais pas sur de la compagnie si elle pouvait te servir, car, tu savais que c'était le meilleur traitement à prendre. T'étais prêt à faire rayer le moment que tu voulais passer, t'étais prêt à agrémenté ta soirée d'une chaleur endiablée. Yeux d'émeraudes, des fentes sauvages et félines, on pourrait presque comparer ça au reptile. Toi, tu sais ce qui cache dessous, quand son regard il reflète la lumière dans ta direction, soudainement, tu ne voulais plus sourire, tu ne voulais rien de ce que tu le pensais capable d'accomplir. Son prénom toque à ta porte, tente de sortir, ça veut résonner dans ta caboche, mais toi déjà, tu tais l’écho, tu le laisses mourir, tu poses tes mains sur lui et tu l'étouffes, pour pas que ça vienne sur ta langue, pour que rien ne vienne se mêler à tes pensées, pour pas que t'ai à le prononcer ni à t'en rappeler. « Je suis désolé » T'avais pensé qu'il ferait de même, qu'il fermerait sa grande bouche, qu'il aurait au moins le bonheur de faire ça, de ne pas te laisser entendre sa voix. Elle a changé depuis le temps n'est-ce pas ? ça on peut le dire, ce n'est plus un enfant, ne reste peut-être que des vestiges d'une adolescence. Elle racle, rien qu'avec trois mots, elle racle, elle dévaste. Elle retourne la terre, pour déterrer les choses que t'avais enfouis, cachés ces choses sur lesquelles tu ne voulais plus passer. Pourquoi, il fait ça ? Il n'avait pas compris qu'entre lui et toi, il ne devait pas y avoir de bruits, que tu ne voulais pas des acouphènes qu'il pouvait bien produire. Mais non, lui, il parle, il hurle, il ouvre la bouche pour sortir trois babioles, des trucs inutiles et futiles dont personne n'a besoin ici, des lames, des flèches qui font mouche, pas au bon endroit en plus, il te blesse. Là où tout allait bien, là où était en train de se refermer, il s'amuse à tout rouvrir, à tirer sur les points de suture, l'abrutis. Et il se casse, il aligne ces mots, tire ses balles et il se casse, comme si de rien n'était. Pourquoi ? Tu le répètes dans ta tête alors qu'il s'éloigne, une fois, deux fois, trois fois, encore et encore parce que tu ne comprends toujours pas. Tu ne comprends pas le but de la manœuvre, parce qu'en plus, il te balance des couleuvres, des mensonges, des excuses. « T'as pas l'impression que c'est trop tard... » voix audible mais terne, ce n'est pas un cri, ce n'est pas un souffle, c'est entre les deux, tu veux juste que ça parvienne à ses oreilles. Tu l'attendais plus, t'attendais plus rien de lui, ce qu'il venait de dire c'était pour le Kinglsey d'avant, celui qu'il a abandonné, qu'il a laisser se faire piétiner, sous les pas des autres au sein de ce maudit bungalow, sous la langue de l'autre, celle qui le giflait avec des mots. C'était à ce moment-là, qu'il aurait dû venir, qu'il aurait dû s 'excuser, ça l'aurait peut-être empêché de partir, de tant faire souffrir, d'aider des gens à mourir. «  Va te faire foutre Kai ! » cette fois la voix tremble, les cordes vocales s'arrachent pour rugir l'insulte dans le dos de celui qui s'échappe. Tristesse et rage se mêle dans l'agonie, le corps s'est levé pour le scander haut et fort. Tu devrais le poursuivre, coller tes phalanges à ses joues, lui faire ce genre de baiser un peu partout, mais tu ne peux pas, car si tu t'approches trop près, si tu vois son visage pour te vrai, loin de ténèbres, il se pourrait bien que tu faiblisses, puis il y avait des choses que tu ne devais pas avouer, alors mieux valait rester là où tu étais, pour pas que son pouvoir sordide fasse effet. « Je te déteste ! » une autre chose que t'as besoin de mugir, plus fort encore dans l'apogée nocturne, pour que tu puisses y croire, pour que tu puisses l'entendre et voir ce que ça faisait de le dire, pour que le cœur comprenne, pour plus qu'il dise de conneries. Tu ne l'aimes pas, tu ne l'aimes plus, tu voudrais prétendre et montrer que tout à disparu. .
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Chaque pas que tu fais et qui t'éloigne un peu plus de lui te fait te sentir de plus en plus vide mais ce n'est pas un vide de plénitude, non, tu ressens quelque chose de beaucoup plus fort et violent. Comme un trou noir dévastateur qui aspire tout sur son passage, c'est ça ... Tu sens pourtant tes pas lourd, faible et forcé. Tu te demande alors que l'envie de te retourner te poursuit, pourquoi est ce que tu as déclaré cette connerie. Pourquoi avoir dis ça et partir comme un valeur ? Tu ne sais pas tellement puisque en réalité tu ne sais pas quoi dire de plus qui pourrait passer un temps soit peu comme une excuse, parce que tu n'en as pas. Ça tu le sais plus que quiconque, tu n'as aucune excuse pour ce que tu lui as fais, pour ce que tu t'es fais. S'il y a bien un regret que tu garde au fond de toi et qui dévore même quand tu n'y pensais pas, c'est bien celui là. De ne pas avoir parler, de ne pas avoir mis les choses à plat, de ne pas avoir réussi à régler cela avant que ça en devienne aussi ... mal. Tu t'en veux et pas seulement pour lui mais pour beaucoup de personnes qui en réalité comptaient sur toi alors que tu les as lâchement abandonner à un moment de leurs vies où ils en avaient le plus besoin. Tu ne l'avais jamais vu, tu ne l'avais jamais remarqué avant que Jaden ne t'ouvre les yeux sur ça, ainsi que Kenna d'ailleurs en rapport à sa sœur. Tu n'as fais que penser à toi, à ton malheur, à ta souffrance, tu n'as jamais été aussi égoïste que ça de toute ta vie. Tu ne pensais pas qu'il y aurai autant de conséquence et pas de cette ampleur mais elles sont là, bien présente et plus violente que jamais et tu t'apprête à les prendre de pleins fouets. Tu continue de marcher, tu as envie de régler cette histoire en réalité mais tu ne veux pas le forcer, déjà beaucoup trop affecter par autant d'ignorance venant de sa part au sein du camp. Mais tu l'espères, tu l'espère et finalement tu l'entends parler, d'une voix plutôt basse sans trop d'émotion, mais des mots qui te retiennent, qui te font resté sur place. Les mots qui viennent à la suite sont plus violents, ils te font mal, te serre à nouveau le cœur mais tu le prends, tu l'accepte car tu sais que c'est de bonne guerre après tout. Tu décides de te tourner vers lui, plongeant de loin ton regard émeraude dans son regard bleuté, de loin tu as l'impression de voir une mer calme et paisible ,des flots bleus et doux qui ne demandent qu'à être bercer. Mais qui est en réalité une mer déchaîné, ravagé, meurtri qui souffre et décide de tout détruire sur son passage afin de ne pas être le seul à ressentir cela. Tu as l'impression d'être capable de pouvoir lire en lui comme dans un livre ouvert, est ce parce que c'est le contre coup de ton pouvoir ? Parce que tu pense toujours le connaître ? Ou tout simplement parce que tu es responsable de tout ce qui lui est arrivé. Tu ne dis rien, tu reste silencieux face à lui alors qu'il n'ose pas s'avancer vers toi, tu te demande pourquoi pendant un petit moment mais tu t'en fiche, après tout l'essentiel et qu'il te fasse face enfin. Tu te prends de nouveau ces mots lourds de sens, tu essaye d'accusé le coup, de l'accepté et de te dire que c'est de ta faute ... Tu sais que ça l'est, TOUT est de ta faute mais tu as trop été aveuglé par ta propre sécurité pour ne pas le voir, pour ne pas remarquer tout ça. Tu baisses un peu le regard en te mordant la lèvre, par énervement mais contre toi même. Tu n'oses pas t'approcher, tu ne veux pas faire ce pas là par peur qu'il prenne cela comme une agression. Tu as besoin de lui, plus que jamais mais tu ne dis rien, tu ne fais rien, tu sais que c'est à lui de venir, que tu n'as plus rien de droit à lui demander. Tu enfiles tes mains dans les poches de ton jean pour fermer les doigts en un poing de colère, pour ne pas qu'il le remarque. Et tu te mets à dire sans réellement avoir réfléchir à ce que tu aurais pu lui dire si ce moment arrivait, " Je ... Je m'en veux aussi Kingsley ... " , tu réussis à prononcer ouvertement son prénom depuis bien longtemps, ce qui te faire ressentir tout un tas de chose auxquels tu ne veux pas penser, pas maintenant, pas tant que toute cette histoire ne soit pas réglé. " Je suis prêt ... Dis moi ce que tu as dire, je l'accepterai ... Je ne répondrai même pas si c'est ce que tu veux. Je te demande juste de ne pas m'ignorer, parce qu'à l'heure actuel c'est ma pire des souffrances. Je préfère encore que tu me cris dessus, que tu t'en prenne à moi, que tu me hais à travers tes actes et tes paroles ... Que de faire comme si je n'existais pas. " , tu l'as dis, tu avoue tout, à quoi faire semblant maintenant. Tu n'en dis pas plus, tu ne veux pas tout mélangé, tu sais qu'il y a bien plus, tu sais qu'il a toujours eu bien plus entre vous. Sinon, vous n'en seriez pas là aujourd'hui, tu ne sais pas comment aborder tout ça pour le moment alors tu pars dans l'idée de parler en général, de soumettre l'amitié au lieu des sentiments peut être pour ne pas entendre sa vérité pour l'instant ou alors parce que tu n'es pas encore prêt d'accepter ce qui s'est passé. Mais tu es juste fatigué, fatigué d'être perdu, de ne pas comprendre ce qui se passe autour de toi, de ne plus pouvoir dormir, d'avoir l'impression que chaque jour est un cauchemar de plus. Tu n'en peux plus, tu es au bord de l'explosion, et de la manière dont tu fonctionne, tu sais que tu n'irais jamais craqué devant quelqu'un qui ne te connait pas. Et la personne qui te connait le plus malgré tout, c'est lui ... c'est l'homme que tu as en face de toi, lui qui a réussit à éveiller en toi pour la première fois des sentiments qui t'était inconnu jusqu'alors. Tu en as rêvé, tu en as eu envie, tu voulais y goûter, t'y abandonner mais tu n'as pas pu et tu ne sais toujours pas mettre une explication sur ça. Tu gardes ton regard émeraude braquer sur les siens, le regard à la fois triste, évanouie, perdu et rempli d'une certaine incompréhension. Tu tentes un pas ... Tu le tentes par peur qu'il ne le fasse pas, tu as toujours su prendre les devant, te battre pour ce que tu voulais ... Tu essaye de retrouver ça, cette sensation que rien n'est perdu tant que tu t'y bats pour.
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Brillance monotone au fond de l’âme, c'était petit et faible, une lumière que l'on aurait eu aucun mal à ignorer, elle était loin de tout illuminer, de tout aveugler. Cette brillance serait à l'image de quelques braises rougeoyantes, des restes d'une flambée jadis grandiose, avec des flammes qui monteraient jusqu'en haut, qui caresseraient le ciel, elles brûleraient l’atmosphère, consommeraient l'oxygène autant que les ténèbres, ça serait des choses sur lesquelles tu pourrais compter, te raccrocher, te réchauffer, te sentir en sécurité. C'était ça ce que tu ressentais pour Kai quand tu étais gosse, pire qu'une ancre, il représentait carrément le bateau sur lequel tu voulais fendre les flots. Kai, tu l'as aimé, alors que t'avais tend d'autres bouches qui auraient pu t’appeler. T'avais confiance, car au début, il n'y avait que vous deux et tu pensais que ça resterait comme ça, que ça suffisait, que vous deux, vous pouviez en rester là. Tu croyais en ce duo qui te protégeait dans cet espace clos. T'as compris trop tard qu'il n'y avait pas de canots de sauvetage au cas où il finirait par se fracasser en croisant d'aimables rochers, que s'il partait à la dérive, toi, tu finirais noyé et il n'y aurait aucune planche prête à détacher pour te sauver, pour te porter jusqu'à une rive où tu pourrais t'échouer. T'as dû nager seul dans l'océan alors que lui, il restait avec les autres, la rocaille, d'autre gens que tu te voyais mal approcher. T'as conscience que ta solitude de jeunesse, c'est toi-même qui te l'aies forgée, que si t'avais pu t'accrocher un peu plus, les choses se seraient passées différemment, mais ça n'expliquait pas pourquoi il était pas venu à ta rescousse, pourquoi t'as eu la sensation que sa main t'avait lâché pour qu'il puisse mieux s'éloigner. S'éloigner comme il le faisait là maintenant sans un regard en arrière jusqu'à ce qu'il se stoppe sous la pression de tes mots sans doute, comme quoi il semblait que tu puisses toi aussi viser juste, procurer des réactions avec des mots tout cons, avec des munitions qui t 'étaient pourtant étrangères. Tu ne gères pas le langage, tu ne gères pas la parole comme pourrait le faire un enfant d'aphrodite, mais ce n'était un secret pour personne. Il se retourne et tout ce qu'il veut c'est qu'il se détourne encore, qu'il s'écarte de ta route, maintenant que tu pensais qu'il allait partir, il aurait peut-être mieux fallu qu'il le fasse vraiment, pas qu'il fasse semblant, pas qu'il ait ce putain de comportement digne d'un serpent. Il ne te laisse pas le temps de réfléchir, pas le temps d'aligner tes pensées, alors qu'au début tu pensais qu'il aurait discours et tumultes, il n'y avait eu que quelques sons échangés et une fugue et maintenant que le croyais parti il revenait pour mener le dialogue. Il ne sait pas ce qu'il veut et tu dois bien avouer que toi non plus, tu sais pas, ton cœur est quelque chose qui t'échappe, faut dire que ce n'était pas vraiment l'instrument que tu avais le plus l'habitude d’utiliser, ton cerveau se trouvait plus bas que la poitrine alors il ne fallait pas s'étonner que tu aies dû mal à voir avec clarté. Il reste là, quel connard. Il t'épie et tu ne peux qu'en faire de même, lisant la colère qui se démène dans son poing de chair, cette chose qu'il serre comme s'il avait peur de le lâcher, comme si ça main était soudainement une bête sauvage qui pourrait mordre ou griffer. Qu'il n'aille pas croire que tu ne vois pas les boules faites de phalanges qui se forment dans ses poches alors que tes doigts faisaient la même chose dans les tiennes. « Ta g.. » que tu commences à articuler lorsqu'il prononce ta première lettre mais c'est trop tard, il l'a dit, depuis sa bouche appétissante, il a osé, avec difficulté, mais, il l'a fait. Quel connard. Tes ongles s'enfoncent dans tes paumes, il continue. Tu n'as rien à lui dire, t'as peut-être des choses à formuler mais en réalité, c 'était à lui de tout dire, de tout révéler, c'était à toi d'apprendre le comment du pourquoi. Pourquoi, il t'a laissé, comment il a fait pour tomber amoureux de cette Ines alors que toi, t'étais là et que t'as toujours été là. Non, t'avais rien à dire et c'était pour cela que depuis son arrivée vous ne vous parliez pas. Le regard partait toujours sur le paysage s'il avait le malheur de tomber sur le jeune-homme et s'il ne s’éclipsait pas vite de ton horizon, c'était à toi de partir, de t'évanouir sans un bruit. Une partie de toi aurait bien envie de continuer, de ne jamais s'arrêter, surtout qu'il vient de te l'avouer, ça le fait souffrir, lui arrache quelques lambeaux. Son pied se tend dans ta direction, tout comme les yeux poisons qui ne t'ont en réalité pas lâché depuis le moment où il avait fait volte-face.

Toi, tu restes sur place, de marbre. C'est le seul résultat que tu puisses donner en empêchant ton corps de tanguer en avant et en arrière. Tu l’empêches de s'approcher, parce qu'il voudrait aussi bête que ça soit, lui aussi voudrait faire ce pas sur le côté, mais tu ne peux pas, car ton esprit te somme de partir, de courir. Deux vecteurs directionnels qui s'opposent et s'affrontent, la lutte n'est visible que grâce à certains tremblements, des mouvements inachevés et qui restent en suspend. «  Je ne veux pas te crier dessus et encore moins m'en prendre à toi » les activités étaient tentantes, promettaient d'être grisantes, éteindraient sûrement ce besoin de vengeance, mais tu n'en avais plus la force ni l'envie, plus avec lui, pas ici. Il y avait déjà assez de douleur pas besoin d'en rajouter, t'étais sûr que vous pouviez tous deux vous en passer. « Je ... » Le corps bondit, s'échappe de sa prison, les mains serrent le corps de Kai, le rapproche plus que ce n'était possible, les muscles ne laissant pas le choix et tes lèvres ne laissant rien passer sur les siennes. Pour cause, elles sont scellées, elles se touchent et s'embrassent comme des amantes, une seconde ou deux, pas plus, cela aurait été trop. T'avais juste envie de goûter, voir ce que tu pouvais bien ressentir, voir si ça ressemblerait à tes rêveries enfantines. Tu le repousses, le bouscules, ne faisant pas attention à la force qui propulse. « Merde » t'as cédé, tu te retournes pour prendre ton crâne entre tes mains, il faut te calmer, il faut que tu repenses à respirer même si, quand tu le fais ça pique et que tes lèvres brûlent. C'est ce que tu fais après avoir donné rageusement un coup de pied dans la souche. Tu restes statique, la tête en l'air, tu regardes le ciel en lançant des nuages, ne faisant plus attention à ce qui pouvait se passer derrière. Voilà pourquoi il avait toujours fallu l'ignorer, il représentait un danger, sûrement l'un des plus grands qui pouvait planer au-dessus de ta carcasse de géant.  
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Say something, I'm giving up on you


Tu as cette soudaine impression d'être seul, seul face à un homme qui a toujours su de procurer des sentiments assez fort intérieurement. L'un des rares qui a su d'apprivoiser, toi qui ne cesse de prendre ton envol au nom de liberté et qui t'es promis de ne jamais perdre tes ailes pour qui que ce soit ou quoi que ce soit. Tu ne portes aucun regard aux alentours, plus maintenant, tes yeux sont rivés sur les traits marqués, brutes, sévères du visage de Kingsley, tu sembles le caresser de ton regards, tu cherches à comprendre cette expression ... non pas à la comprendre, à l'accepter car tu sais maintenant ce qu'elle représente, pourquoi elle t'est adressé, tu sais que tu l'as mérite. Tu veux simplement l'accepter et réussir à passer à autre chose, pas brusquement, pas en forçant mais en espérant, oui depuis ce fameuse bataille, tu tends à nouveau à certaines espérances, elles sont peut être faibles pour le moment mais c'est ce qui ressort le plus, ce que réclame ton corps, ton âme. Un faible brin d'espoir t'illuminant dans les ténèbres afin de t'y accrocher avec le peu de force qui te reste pour sortir de cette noirceur qui t'as totalement envahis et détruit de l'intérieur ... voir même de l'extérieur. En réalité, tu te sais fautif de tout, tu te sais responsables de tout ce qui t'arrive, de tout ce que tu subis mais malgré tout ça, malgré que tu en sois conscient et que tu cherches à te rattraper. Tu ne sais pas quoi dire, tu ne sais pas quoi faire, toi qui a toujours été maladroit dans tes sentiments, toi qui a tant de mal à trouver les bons mots pour te faire comprendre, toi qui met tout ce que tu as dans un geste plutôt qu'une parole. Tu sais qu'au stade où tu en es, la merde dans laquelle tu t'es mis qu'il va falloir bien plus qu'un simple geste pour représenter ce que tu cherches à accomplir, cette rédemption, ce pardon qui tu tends à saisir auprès des autres, auprès de lui. Tu as parsemé ton chemin de morceaux de verres brisés en cassant tous les miroirs qui représentaient tes relations, tes amis, tes proches, ce que tu as eu du mal à construire, à bâtir. Tu ne sais même pas ce qu'il en reste puisque tu n'as jamais osé te retourner avant maintenant ... Un véritable exploit qu'il n'arrive peut être pas à voir ou comprendre mais le simple fait de t'être retourner pour faire front, pour constater les dégâts, pour ouvrir les yeux sur ce que tu as fais ... C'est un énorme pas en avant pour toi, un moment que tu marqueras au fer rouge à l'intérieur de ta mémoire surtout en sachant que tu fais tout ça pour lui. Le sait t'il ? A t'il envie de le savoir ? Tu ne sais pas à quel point tu as pu le briser, tu penses le savoir mais tu es surement loin de la vérité.

Mais te voilà présent, te voilà en face de lui, prêt à affronter le courroux de toute une vie. Tu ne vois que lui, tu ne ressens que sa présence, tu te concentres sur lui. Tu ne sais pas encore ce que tu vas dire, ce que tu vas faire, comment il va réagir. Cela t'angoisse, te donne envie de fuir comme tu l'as si bien fait par le passé, de continuer à t'enfoncer dans les ténèbres car même si elles t’enfoncent dans les tréfonds de la solitude et d'une mort certaine, elles restent beaucoup plus douces et moins douloureuses que cet acte d'aller de l'avant et ce regard dur que te porte celui qui te troublera à jamais. Sans réellement en avoir eu conscience, tu es là, près de lui, à quelques pas à peine alors que tu sens sa réticence. Alors que tes poings fermés sont un signe d'hostilité envers toi même, tu sais que les siens ne sont pas pour lui même mais pour toi mais tu n'as pas peur ... non tu n'as pas peur d'en prendre une qui sera largement mérité, ce n'est peut être pas le meilleur geste que tu attends de lui mais ça reste tout de même une réaction qu'il ne t'aurait pas porté si tu ne serais pas venu à l'affront comme présentement. Tu te perds alors dans ses yeux, tu continues à le détaillé maintenant que tu peux le voir, le fixer sans détourner le regard, sans le voir partir. Tu te laisses émerveillé par ce visage qui t'a tant manqué, qui avait su te faire rêver à une époque. Tu parles mais encore une fois pour chercher une réaction de la part de Kingsley alors qu'en réalité, tout doit venir de toi. C'est toi qui doit être là pour lui et pas l'inverse mais c'est plus fort que toi, tu n'y arrives pas, par peur. Peur d'être à nouveau abandonner, rejeté, laisser seul ... ce que tu as subis toute ta vie dans des événements qui n'ont fait qu'empirer à la suite. Mais tu ne t'attendais surement pas à cette réaction, pas après tout ce qu'il y a eu, pas après avoir fait face à ce regard froid de plus près. Et pourtant, cette froideur a vite laissé place à une flamme, une flamme qui s'est vu grandir et te réchauffer lentement. Une chaleur qui a envahit ton corps dès le moment où il posa ses mains sur ton corps, ton pouls as accéléré d'un seul coup. Un frison te traversa l'échine alors que tu sens son corps venir s'emboîter presque parfaitement au tien, et lorsque ses lèvres frappèrent les tiennes. Tu n'as pu que te résoudre à totalement d'abandonner à lui, un geste tant rêvé, un moment tant voulus. Deux secondes, deux secondes où tu as à peine eu le temps de lui tenir fermement son haut pour le garder contre toi que le baiser pris fin. Mais dans ton esprit, dans ta mémoire, ce baiser a duré bien plus longtemps que ça, le temps et l'espace ne régissaient d'aucunes lois, tout devenait ton monde, un monde où chaque moment pouvait être infini. Mais alors que tout semblait parfait et sous contrôle, quand bien même tout cela soit inattendu et surprenant. Tu sens son corps te repousser, te bousculer avec un peu plus de violence que prévu, ce qui te fais reculer de quelques pas pour ne pas tomber à la renverse alors que tu sens sa réticence, sa colère. Tu l'observes un moment, tout aussi perdu, l'envie a dépassé la raison, c'est ce que tu te dis en le voyant ainsi. Tu te mords la lèvre à la fois pris d'une certaine envie mais aussi d'une compassion, tu t'en veux de l'avoir mis dans cette état mais tu te résous à ne plus vouloir fuir, à ne plus l'abandonner. Tu le laisses un moment réfléchir, dans sa bulle avant de faire un pas, un pas décisif qui définira surement ce qu'il adviendra de vous mais tu le veux, tu en as besoin, tu le réclames. Tu t'approches de lui lentement, silencieusement sans trop l'envahir de ta présence, de ton aura. Tu te veux rassurant, dû moins c'est ce que tu souhaites transmettre alors que tu glisses lentement un bras autour de lui qui vient se poser sur son torse et que ton visage s'enfouit dans son dos. Encore un geste, encore ton expression habituelle, tu sais comment user de ça, tu sais comment jouer avec ça mais tu sais qu'il faut plus maintenant. " Je suis désolé de t'avoir abandonner ... " , lâches-tu alors que ta gorge se serre à la fin de ces mots, tu te demandes ce que tu pourrais ajouter de plus, est ce que ça fera trop ? Mais peut être qu'il en a besoin, tu es perdu à ce moment là mais tu te lances ne sachant pas par où commencer. " Je ne peux pas dire que je regrette tout ce qui s'est passé, ça serait se voiler la face. Il y a peut être eu de mauvaises décisions, de mauvais jugement ... Je pourrais pas te l'expliquer précisément, je peux juste dire que je n'étais pas près, que j'avais peur ... Et que je ressens toujours cette peur quand je te vois. Tu es peut être celui qui me fait le plus ressentir de choses, et je pense que ça sera toujours ainsi et c'est justement pour ça que j'ai peur. Parce que tu peux tout aussi bien être celui qui peut m’élever ou me détruire ... " , tu laisses les mots fusées, tu n'y as pas réfléchis mais en même temps tu ne le veux pas, tu parles simplement avec ce que te dicte ton cœur sur le moment. Tu ne sais pas où cela va mener mais tu avances, tu avances en espérant au plus profond de toi qu'il le comprenne et qu'il ne voit pas simplement l'homme lâche et fuyard que tu as été.
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say something i'm giving up on you (kai)
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