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Skylar P. Lucilius
Skylar P. Lucilius
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Ohpe' & Sky'

Show me ur Boobs on Arès Roof !  


Dans une famille, il peut y avoir de tout, des gens qu’on adore, qu’on voit plus souvent qu’à de strictes réunions de familles, et il y a les cons, ceux qu’on traite comme des indésirables et qu’on évite comme la peste. Surtout dans ma famille qui semble bien sous tous rapports, riche – il faut le dire- , avec des descendants ayant tous eu un pied dans le sénat. Les plus basses classes de notre famille ? Ignorée pendant des années. Mais vous vous doutez que rebelle comme je le suis, j’ai décidé de supprimer la tradition  d’éviter les membres de notre famille qu’on excluait pour des raisons que je jugeais terriblement débiles. Il faut avouer aussi qu’une rencontre à l’aube de mon adolescence avait aussi tout remis en question… laquelle ? J’ai nommé ma cousine éloignée ( mais cousine tout court convient parfaitement) Ophelia, autrement dit Ophe, Féfé, mon canard, mon rhum des îles, bref, tout les surnoms débiles ( et terriblement niais) que vous pouvez imaginer, je les lui ai déjà donné. Chanceuse pas vrai ?

Un jour, alors que je devais avoir 13/14 ans j’avais discrètement subtilisé des invitations pour une des soirées mondaines de mes parents –et qu’accessoirement je détestais- et l’avais déposé dans la boite aux lettre des Shaw… Et paf, c’est ainsi que je les avait officiellement reconnu comme membre de notre famille, bien entendu sous le regard courroucé de mes parents.  Mon père Dominus, avait pourtant plus d’une fois essayé de me séparer de ma cousine préférée, insinuant qu’elle avait mauvaise réputation et autres conneries sur l’appât du gain que je représentais pour eux. Et Bla, bla, bla. Enfin ça c’était au début, nos familles avaient fini par se serrer les coudes et s’apprécier au vues des conneries qu’on avait fait toute notre adolescence durant avec Ophé.  De Matharina ( qu’on surnommait  en se marrant Margarine en mimant son fort accent du sud de l’Amérique, chilien peut être)  la nourrice, domestique de la maison, qui parfois c’était plus occupée de moi que mes  propres parents. Elles nous avaient couvertes, parfois, elle n’y pouvait rien, je me souviens particulièrement bien de la fois ou on avait réussi à la faire boire à son insu… la pauvre, quand j’y pense, on lui en a fait voir de toutes les couleurs…

Bref, maintenant que la situation est recadrée, et que vous savez de quoi je parle, je ne vous surprendrai pas si je vous dis qu’une fois de plus, j’allais rejoindre ma cousine favorite chez elle.  Elle m’avait parlé d’un plan génial pour aller draguer sans se faire remonter les bretelles – elle parlait surtout pour moi je pense, étant chez de cohorte, j’étais en quelque sortes obligée de me tenir à carreaux- , draguer ouais, en fait j’étais plutôt partie dans l’optique de faire la fête avec elle, la suivre dans ses conneries, entendre son rire me percer les tympans, complices comme jamais. On s’était même dit qu’un jour on se ferait un tatouage identique sur la cheville, reste à voir si un jour on aurait le cran… Quoi que nous connaissant, vu les démons que nous étions ensemble, ça n’aurait rien de très surprenant.  Arrivée au point de rendez vous, bouteille de vodka dissimulée dans le sac à dos,  je l’attendais au portail greco/romain, je jetais rapidement un coup d’œil à ma montre, 20 minutes de retard. Jusqu’à ce que je vois enfin sa bouille d’écureuil arriver comme si de rien était, le sourire aux lèvres je l’interpelais au loin. « Mais que vois-je ?  Une fleur de prairie printanière ? Mon cœur est en émoi ! »  Oui, je sais, mon jeu était digne de l’une des meilleures actrices du théâtre grec antique.




AVENGEDINCHAINS
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Ophelia Shaw
Ophelia Shaw
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Vous voyez ces films, où la fille ordinaire découvre qu’elle est une princesse et se retrouve soudainement avec un palais, mille robes plus scintillantes les unes que les autres et tout un tas de domestiques à ses pieds ? C’est pas vraiment comme ça que s’est déroulé la vie d’Ophelia. C’était encore mieux. Parce qu’elle s’est découvert une cousine qui, dans la Nouvelle Rome, en plissant les yeux, en transformant le palais en villa romaine et les robes en vêtements super chers, super classes, mais moins embarrassants que des robes à froufrous, s’apparentait à l’équivalent d’une princesse. Autrement dit, Ophelia s’est découvert une cousine bien haut placé, et a toujours bénéficié des cadeaux (discrètement refilés parce que leurs parents se détestent, bla, bla), des bouteilles et des bonus de princesses, sans en avoir les inconvénients. Le pied. Les deux pieds, même, à ce niveau-là, parce que sa cousine s’est révélée aussi branchée conneries qu’Ophelia, et que toutes deux en ont fait voir des vertes et des pas mûres au restant de la Nouvelle Rome, occasionnellement accompagnées d’une Melody enthousiaste. Une team d’enfer. Parce que c’est ce qu’elles sont, une team, depuis leur plus jeune adolescence, depuis l’invitation glissée dans la boîte aux lettres qui a fait froncer les sourcils de son père et sautiller Melody de joie. La découverte d’une famille, certes éloignée mais une famille tout de même, c’était la découverte du siècle. Et leur père n’a jamais pu les arrêter. Les cousines n’ont jamais vraiment pu être séparées, malgré les tentatives de leurs parents. Et encore aujourd’hui... Eh bien, encore aujourd’hui, elles vont frapper.
« Je suis su-per en retard ! » hurle Ophelia dans la maison, à qui veut l’entendre. Elle sait que Mica est enfermé dans sa chambre, à faire elle-ne-sait-quoi (et, franchement, est-ce qu’elle veut vraiment savoir ? nope), et que Melody est dans la cuisine à fouiller le frigo. C’est cette dernière qui lui répond de se speeder, au lieu de se plaindre. Ophelia passe un dernier coup de brosse dans ses cheveux, remonte son short en jean sans aucune élégance, vérifie le contenu de son sac - Sky a la vodka, elle a la bouteille de rosé qui semble prétentieux mais qu’elle a acheté six dollars lors de son dernier tour à San Francisco. Tout est bon. Elle jette son sac sur son épaule, grimace au son fracassant de la bouteille contre le tire bouchon et la multitude de gadgets qu’elle a eu la flemme de retirer du sac à dos Doctor Who qu’elle a sur le dos, et déboule dans l’entrée. « J’me casse, pleurez pas trop sans ma présence, les losers ! » Melody lui adresse un geste bien trop vulgaire pour une descendante de Vénus, et Ophelia claque la porte avant de courir dans la Nouvelle Rome. Un rapide arrêt pour récupérer son arme à la sortie de la ville, puis elle fonce le plus vite possible jusqu’à San Francisco. Un Uber la récupère, confus quant au lieu de rendez vous, et elle papote tout le long du trajet. Il s’avère que Mark (le conducteur, qui ressemble étrangement plus à Mario qu’à autre chose) est un grand fan de Star Wars, et ils débattent longuement sur les potentielles origines de Rey. La théorie de Mark est tellement tirée par les cheveux qu’elle passe encore dix minutes dans la voiture à l’arrêt pour la démonter morceau par morceau. A la fin, ils échangent des numéros, et elle manque d’oublier son sac sur le siège arrière.

Devant le McDo qui dissimule la porte donnant accès au camp grec (ou partout, en fait), Ophelia sautille jusqu’à Skylar, qui l’accueille le sourire aux lèvres. « Oh, mais quelle est cette magnifique damoiselle qui m’interpelle ? » Ophelia porte une main à son coeur, manque d’échapper son sac, et s’arrête net. « J’ai fait une rime. Belle gosse ou pas ? » Puis, elle s’approche de sa cousine, et lui tend les bras comme une grand-mère qui n’aurait pas vu ses petits enfants depuis des mois. Elle enlace Sky avec un petit rire. « Désolée pour le retard, pour le respect de tout l’univers de Star Wars, je devais discuter avec Mark, mon Uber. » Elle ne laisse pas bien longtemps à Sky pour répondre, et reprend, toute excitée. « Alors, prête ? J’espère que les grecs le sont, parce qu’on va démonter leur caaaaaamp ! » Qu’elle finit en chanson, avant de jeter un regard inquiet vers le ciel. « Enfin, façon de parler. No problemo. On touche pas au camp. Sauf avec nos pieds, pour marcher, parce que breeeeeeeeeeef allons-y, Alonzo. » Et elle entraîne Sky jusque dans le McDo, où elle prend le temps de commander un milkshape, et c’est la paille dans le bec qu’elle entre dans les toilettes du fast food. Il ne leur faut pas longtemps pour passer la porte, après avoir résolu l’énigme et pensé très fort à leur destination. Comme pour transplaner. Ophelia a-do-re. Reste encore le voyage depuis New York, en taxi, cette fois, durant lequel Ophelia raconte sa vie à sa cousine. « Et là, le mec me regarde droit dans les yeux, et me dit que je suis pas qualifiée pour travailler dans cette boutique, parce que je suis une fille. J’peux te dire qu’il a vu que j’étais qualifiée pour l’expédier dehors, et le dissuader de remettre les pieds ici ! Non mais j’hallucine, ces machos pourris ! » Et enfin, elles arrivent au camp. Le taxi les dépose, et Ophelia se tourne vers Sky, en sautillant à nouveau sur place. « J’ai super hâte, on va où ? On fait quoi ? J’ai trop envie d’aller à la plage, il paraît qu’ils ont des canoë, c’est pas le top, ça ? »


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Mickaël S. Stanton
Mickaël S. Stanton
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+ face and credits : Nam Joo Hyuk (c) Minji

Ophe' & Sky' & Mickaël

Show me ur Boobs on Arès Roof !  


Vous voulez savoir le plus grand handicap que représentait mon amnésie? Je ne savais plus régler mon réveil ultra-branché et vieux de deux ans. Ce qui était un handicap énorme quand on était supposer rencontrer des personnes pour un rendez-vous. Dommage. C'est mon grand-frère qui, surpris de me voir en rentrant de ses rendez-vous, avait décidé de me réveiller. J'étais encore en congé maladie, ou plutôt à temps partiel dans la légion. On voulait être sur que je n'allais pas estropié une nouvelle recrue au lieu de les entraîner. Quoique, quand on voyait les tête de gnou qu'il y avait dans les nouvelles recrues, je me disais parfois que couper un membre ou deux les feraient revenir à la raison. Mais, aujourd'hui tout cela n'avait rien à voir avec la légion. Les filles allaient une fois de plus me rappeler à quel point j'étais incapable à réveiller. Et alors? Je me jetais hors de mes draps et lui adressant un petit garde à vous avant de me cogner le pied dans le coin d'une chaise et de grommeler. Connasse de chaise. Je sautais dans des vêtements avant d'attraper mon téléphone portable version romaine, adaptée par des enfants de Vulcain. Enfin... il me semblait que c'était ça. Au pire, je ne l'utilisais que pour prendre des vidéos ou aller sur les réseaux sociaux. Mais j'étais en total réapprentissage de la vie.

Je courais dans tous les sens, sortais du Camp Jupiter et réussissais à me faire prendre en stop par un taxi. On pouvait pas réellement dire que j'étais vraiment prit en stop mais bon... L'autre handicap de mon amnésie était que j'avais oublié pas mal de gens. Mais, je n'avais pas oublié ni Sky, ni Ophélia. Elles étaient des mamis de ma vie. Ma sœur et ma cousine adoptive. Je les avais regarder faire des conneries depuis la nuit des temps, me contentant de souffler quelques idées et de prendre de superbes vidéos ou photos pour immortaliser tout cela. Je payais le taxi en grognant devant le prix et surtout en me rappelant que j'allais devoir certainement payer à l'arrivée pour aller jusqu'à la colonie. Je cherchais du regard les deux folles mais, pas de signes des deux. Je me tournais vers un inconnue qui portait l'uniforme de l'enseigne et lui demandait:

-"Vous avez pas vu deux naines rentrer dans les toilettes des hommes?"

Le mec me regarde avec un air de débile profond et je préfèrais aller commander trois cheeseburger et un ice tea avant d'aller aux toilettes des hommes et d'être à New-York. Je ne voulais pas payer un autre taxi putain... J'avisais le parking du haut de mes 1 m 88  et me lançais dans une opération séduction auprès de deux jolies demoiselles. Aurais-je eux un peu plus de temps, j'aurais apprécié la situation mais je me devais d'arriver assez rapidement. Je n'aimais pas être en retard, j'étais quelqu'un de ponctuel. En temps normaux. Je prenais un air dépité et réussissais à les convaincre de m'emmener jusqu'à proximité du camps. Je pense que le fait qu'elles aillent dans cette direction avait grandement aider. Avec à peu prêt, deux heures de retard et trois cheeseburgers froids, j'arrivais à destination. Une main dans la poche, un sachet en papier dans l'autre je retrouvais mes deux naines favorites avec un grand sourire.

-"Vous avez faim? Je me suis dit que fallait vous nourrir, avant de faire n'importe quoi. J'ai un cheeseburger si vous voulez. Ou on va voler des fraises dans la colo?"

C'était gratuit après tout. Autant en profiter.

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