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  « à se battre avec les mots et les armes. » GLEWALD.Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
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à se battre avec les mots et les armes.
gleeson hedge && ewald von hammer


La journée est glaciale, le vent frais qui s’infiltre dans le Camp Jupiter est vraiment insupportable, il gèle les membres, cristallise les moindres petites gouttes de sueur pouvant couler sur les fronts des légionnaires. Autrement dit, c’est une journée idéale pour s’échauffer, pour pouvoir dérouiller ses muscles. Le Brésilien n’est pas habitué à ce genre de températures, malgré le fait qu’il soit ici depuis plus de dix ans, jamais il ne pourra se faire au froid, pour lui son pays c’est la chaleur et c’est ancré dans ses gènes depuis bien longtemps. Le centurion s’est levé le matin avec la ferme intention d’aller se défouler, d’expulser le trop plein d’émotions qui l’habite depuis déjà bien trop longtemps. Une fois debout, après avoir petit déjeuné, il s’est donc mis en tenue de sport, un short, un t-shirt et un bonnet pour aller faire des dizaines de fois le tour du Champ de Mars, c’est un excellent moyen de pouvoir faire du sport, de s’entraîner et de pouvoir mettre son flux sanguin en marche pour réchauffer son corps. Certaines personnes lui ont appris que pour ne pas avoir froid quand le climat est frigorifiant, il faut rester mou, ne pas se figer et faire en sorte de bouger un maximum. Et cette technique a déjà porté ses fruits de nombreuses fois. Alors que les heures passent, oui, les heures, il a l’habitude de la course de fond, il se rend compte qu’il a manqué à ses devoirs de chef de cohorte depuis bien trop longtemps.
C’est alors qu’à l’heure du repas de midi qu’il se dirige vers sa table, celle où toute la quatrième est réunie pour prendre leur déjeuner qu’il s’approche d’eux pour leur annoncer que dans l’après-midi, il y aurait un entraînement pour tout le monde, et que non, ce n’était pas facultatif, et que le premier qui ne viendrait pas serait de corvée de nettoyage des excréments de Hannibal, l’éléphant du camp. Rapidement, beaucoup de monde a préféré obéir. Ils mangent donc tous ensemble, et Florès tente de s’intégrer aux discussions, d’être tout à fait à l’écoute de ses camarades et de plaisanter avec eux. Seulement, il n’y arrive pas, il a beau lutter, il se souvient de ses amis, morts pendant les guerres, à ceux qui étaient comme eux, de simples gamins, ou de jeunes adultes, décédés pour les caprices des dieux et des titans. Il n’en peut plus, alors une fois qu’il a terminé, il se dirige vers le terrain d’entraînement, seul, après avoir rappelé à tout le monde l’heure du rendez-vous. Il commence tout seul à se dérouiller les muscles en ayant sa lourde épée à deux mains en donnant des coups dans l’air, exécutant des figures qu’il n’avait pas tenté depuis bien longtemps. Ses muscles crient de douleur, son alter ego doit le ressentir, mais il n’y fait pas attention, il a des responsabilités et il les prendra, tant pis s’il fait mal à l’autre.
Ils arrivent tous, et c’est parti pour une séance de plus de trois heures, il s’entraînera personnellement avec chacune des personnes, même si c’est peu de temps, mais il y tient, pendant qu’il le fait, il demande aux autres de se mettre en binômes ou à quatre pour tenter de s’échanger des coups de leurs armes. « Je vous préviens, le premier qui se sort pas les doigts du cul, c’est moi qui les lui fera sortir, dit-il d’une voix forte et couvrant le tumulte du métal s’entrechoquant. » S’il parle ainsi c’est parce qu’il souhaite toujours se faire respecter, même si certains savent qu’il ne va pas bien, alors la vulgarité c’est aussi une façon de s’exprimer pour tenter de montrer malgré tout qu’il n’est pas un monstre, un tyran. Puis il se fait violence, parce que les armes le dégoûtent, parce que parfois, il les revoit tâchées de sang alors qu’il n’y a rien dessus. Mais il le doit, il doit le faire. Ce n’est pas parce qu’il y a eu la guerre qu’il ne doit pas reprendre l’entraînement de ses légionnaires.
Le fils de Trivia finit par arriver auprès du plus jeune de la cohorte, un petit garçon âgé de quinze ans, il sait qu’il n’arrive pas encore très bien avec les armes, mais il est là pour apprendre. « Je vais me lier à toi, n’aie pas peur, je veux te montrer juste les sensations que me fera le combat pour que tu puisses le calquer ensuite. » Alors ils commencent à s’échanger des coups, leurs armes ne sont plus que les extensions de leur bras, comme si rien n’avait plus d’importance autour. Étrangement, cette façon de combattre en se liant avec son adversaire est une bonne chose, car ils comprennent mieux et rapidement, même si l’autre combattant est plus jeune, moins entraîné, il commence à comprendre les choses et se sert même des faiblesses de Luis pour tenter de le mettre à mal. C’est une technique qu’il réutilisera un jour. Pourtant, Florès ne se laisse pas faire, il continue à se défendre, et ne veut pas le blesser, il n’est pas là pour les martyriser non plus, juste leur inculquer les rudiments du combat. C’est alors que le jeune garçon trébuche et se tord la cheville, il se met à pousser un cri de douleur et directement tombe au sol. Luis ressent la même chose et sert les dents, une entorse, malheureusement, il est aussi en proie à une souffrance déchirante, mais il reste debout, il sait que ce qu’il ressent lui n’existe pas et que c’est juste une impression. Il lâche son arme au sol et va voir le jeune garçon qui tremble en regardant sa cheville qui devient quasiment violette et a déjà doublé de volume. « Ça va aller ? » Le petit hoche de la tête affirmativement et tente de se relever, à peine le geste esquissé qu’il retombe au sol. Luis finit par l’aider à s’asseoir en périphérie du champ de Mars pour qu’il assiste à la fin des entraînements, hors de question de mettre tout ça de côté, et il ne brise pas le lien qu’il a filé entre eux, ainsi, il lui permet de lui apporter du réconfort avec la chaleur de son propre corps. Puis il voit arriver un faune en courant, un air d’ahuri au visage. La partie va commencer, dieux qu’il déteste les faunes.
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Gleeson Hedge
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2 février 2017 - Vous savez c'que je déteste le plus au Camp Jupiter? Les faunes. 'fin, je les déteste pas en soi - mais je déteste c'qu'il me renvoient à la tronche. Et j'déteste les romains qui les méprisent, parce que mépriser les faunes, c'est un peu mépriser mes cousins. Et on touche pas à la famille, c'est sacré! Les romains auraient bien besoin d'un bon coup de pied au cul! Faut dire que les faunes font pas grand-chose non plus pour rehausser leur statut! J'suis sûr que le Conseil des Sabots Fendus serait prêt à agrandir le cercle des protecteurs de la colo si on leur en parlait, parce que les romains en ont pas vraiment besoin.
Ils ont Lupa, eux. Quelle louve celle-là! Flippante. Hazel et Zhang m'ont déjà parlé d'elle et, franchement, j'ai pas trop envie de la voir de plus prêt. Comment ça on est sensés aimer les animaux? Y a une différence entre un labrador et une déesse louve qui a aucun remord à faire dévorer des demi-dieux, rentrez-vous bien ça dans le crâne! C'est p'têt pour ça que j'vois les romains comme de grands malades. Et c'est p'têt pour ça qu'ils sont obsédés par le délire de puissance, invincibilité, tout le délire. Lupa leur monte sûrement à la tête, cette vieille folle. Mais entre nous, elle dépasse pas les dalmatiens. Ces chiens sont vraiment des monstres; j'les hais ils me terrorisent j'veux plus jamais en voir un de près.

En parlant de Reyna, c'est justement elle que j'suis venu voir à la base. Mais après j'en ai profité pour faire un tour, et j'suis allé saluer Zhang qui a encore grandi, il va finir par dépasser Tyson à ce rythme! Puis j'ai aussi vu Hazel, qui était avec lui. Croyez-moi ou pas, j'm'en fous, mais ces deux-là sont sacrément mignons. J'suis sûr que c'est grâce à moi qu'ils ont fini ensemble, j'suis un super bon entremetteur!
Depuis qu'on a sauvé le monde (parce que, ouais, j'ai contribué à sauver le monde - quand j'vous dis que les enseignements de Chuck Norris c'est pas de la rigolade) tous ensemble, y a eu comme un coup de mou. Tout le monde s'est éloigné, ou est allé faire sa vie. Et Valdez est toujours aux abonnés absents. Si j'le retrouve, j'vais le lancer dans la fosse aux dalmatiens, il va rien comprendre ce p'tit con. Revenu d'entre les morts ou pas, j'en ai absolument rien à foutre: il va avoir son tarif. Et pensez pas que j'rigole. Ma batte est déjà toute prête à lui briser les chevilles.

J'suis en train de partir, là, j'ai terminé mon petit tour au camp. Mais alors que j'passe à côté des champs de Mars, vous savez pas c'que j'vois? Un mec costaud comme j'sais pas quoi qui aide une jeune recrue boitillante à s'asseoir. ÂÂÂH S'ASSEOIR. C'est comme ça qu'on forge des soldats ici? En leur faisant prendre du repos à chaque petit blessure? Ah non j'suis pas d'accord! Grace s'est battu alors qu'il pissait le sang de partout, et Chase a affronté Arachné avec une entorse! J'vous vois venir. "Non mais Coach tu prends de grands exemples là!" et alors? Rien à foutre. Si les romains se pensent mieux que les grecs, faut qu'ils soient aptes à les dépasser nan? « ÊÊÊÊH! BÊÊÊH - MUSCLOR! » Oui bon j'étais peut-être pas obligé, mais c'était trop tentant. Ce mec a des bras aussi baraqués que ceux de Butch! Est-ce que c'est un fils d'Iris aussi?
Instinct de coach oblige: je débarque en trottinant, toujours aux taquets, et je souffle dans mon sifflet pour signaler ma désapprobation la plus totale. J'en fait des caisses, faut croire que les Dionysos déteignent trop sur moi j'deviens trop théâtral c'est pas cool. « C'était quoi ça? T'es là pour entraîner des fragiles, ou des - bêêêêêêêê - romains? » Moi, trop agressif? Jamais j'suis doux comme un agneau! Euh une chèvre pardon! Bêêêê.
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à se battre avec les mots et les armes.
gleeson hedge && ewald von hammer


En réalité Florès a beaucoup de mal à se faire respecter vis-à-vis des autres demi-dieux de la cohorte. Pour certains c’est un papa poule qui aime aider les autres et les accompagner dans leur vie, et pour d’autres c’est une sorte de tyran, quelqu’un qui fait peur de par ses pouvoirs et sa particularité et parce que c’est un très bon combattant. De ce fait, plusieurs avis se dégagent parmi la quatrième cohorte, certains l’adorent, d’autres le détestent. Ce n’est pas de sa faute, il a toujours été comme ça. Et depuis que les guerres sont passées, depuis toutes les personnes décédées et l’horreur qu’ils ont tous vécu, le centurion est devenu encore plus tyrannique et conciliant, comme si une version exacerbée de lui était apparue suite à tout cela. Dans un sens c’est bien, dans l’autre c’est mauvais et il ne peut plus faire autrement. En prime entre le facteur du fait qu’on pense qu’il n’est plus à la hauteur, qu’il n’a plus sa place parmi les centurions parce qu’il a ses crises de démences, parce que parfois on le voit effacé à cause de son lien avec l’autre qui le rend de moins en moins présent dans le moment actuel, mais ce n’est pas de sa faute, plus le temps passe et plus c’est précis, plus c’est fort, comme si ce lien se renforçait indéniablement. Parfois il en éprouve un réconfort particulier en se disant qu’il n’est pas seul, alors qu’à d’autres moments, il préférait que tout s’arrête. Dire qu’il vit avec ça depuis qu’il est né, que ça ne lui a apporté que des problèmes dans son enfance, car quand l’autre était malade, il se plaignait des mêmes douleurs, encore heureux que son père était au courant que son fils était un demi-dieu et que sa mère était la déesse des carrefours, de la magie et de la nouvelle lune, ainsi il pouvait éviter les drames.
Si Luis a décidé de mettre le jeune romain de côté, c’est parce qu’il a ressenti sa douleur, parce qu’il sait ce qu’il endure et que son entorse n’est pas feinte ; peut-être même que c’est plus qu’une entorse. Mais il n’est pas médecin, tout ce qu’il peut dire c’est que le jeunot souffre et que ce qu’il ressent n’est pas plaisant du tout. Le Brésilien endure sa douleur avec lui, il ne brise pas le lien, mais il continue de marcher, faisant comme si rien n’existait, prouvant au petit qu’il peut faire de même, c’est une leçon de dépassement de soi qu’il tente de lui inculquer. Et il espère donner l’exemple à tous les autres, leur montrer que même si l’on a mal, on doit continuer à se donner à fond, car dehors, quand des monstres sont à nos trousses, la moindre hésitation correspond à une mort proche et douloureuse. Et forcément c’est à ce moment-là qu’un faune ou plutôt un dégénéré de faune débarque en hurlant à tue tête. « ÊÊÊÊH ! BÊÊÊH - MUSCLOR ! » Bon sang, mais c’est quoi ça ? Il se retourne et voit qui arrive. Il lève les yeux au ciel. La réputation de ce faune est arrivée jusqu’à ses oreilles, et forcément c’est Hedge qui débarque. Ce faune, ou plutôt satyre puisqu’il est grec est intenable, il est complètement horripilant, et encore, en pensant ceci, le fils de Trivia est plutôt poli. Il voit arriver Gleeson en trottinant et sifflant comme un cinglé dans son petit sifflet ridicule. « C'était quoi ça ? T'es là pour entraîner des fragiles, ou des - bêêêêêêêê - romains ? » Le sang de Luis ne fait qu’un tour dans ses veines. Qui est-il pour critiquer sa façon de penser ? Déjà que ce genre de créature est plutôt une plaisanterie qu’autre chose, pour qui se prend-t-il ?
Immédiatement, le centurion croise les bras et attend que le vieux bouc arrive à sa hauteur avant de parler. Il réfléchit à ce qu’il va dire, mais il n’a pas quarante ans pour le faire. Il faut qu’il trouve les bons mots, et tant pis ce n’est pas gentil, parce qu’il risque d’être cassant pour le coup, parole de scout. Même s’il n’a jamais été scout d’ailleurs. « Je n’ai pas de leçon à recevoir d’un pauvre clochard. Ici c’est moi qui décide, tu n’es pas content j’te botte le cul. C’est compris petit agneau ? » Il le regarde, un sourire insolant aux lèvres, les yeux rieurs. Depuis le temps qu’il rêve de pouvoir se défouler sur quelqu’un, on lui offre une cible sur un plateau d’argent. Luis voudrait exulter la rage qu’il ressent, il voudrait hurler au monde qu’il souffre et s’il peut le faire sur quelqu’un en faisant en sorte d’être en colère, ce serait encore mieux. Il finit par le regarder de haut en bas et se met à sourire encore plus, non mais sérieusement, c’est ça Gleeson Hedge ? Le "coach" de la colonie des sangs-mêlés ? Une grosse blague oui. « Tu sais qui je suis au moins ? Ewald von Hammer, centurion de la quatrième cohorte, fils de Trivia, ou Hécate si tu préfères, et je ne supporterais pas une insulte de plus envers mes légionnaires. Si je l’ai mis de côté c’est parce que je sais ce qu’il ressent, parce que je le ressens aussi et parce que je sais qu’il ne simule pas. Alors si tu as à quelque chose à redire à ça, fais le je t’en prie, je serais ravis d’écouter l’avis d’un expert du combat qui ne fait qu’agiter sa batte de baseball en l’air inutilement. » Les mots sont crus, sortent sans qu’il n’y pense réellement, peut-être que c’est méchant, mais il s’en moque, il a son rôle à tenir, il doit montrer la supériorité de la légion, il doit prouver qu’il n’est pas faible face à ceux dont il a la charge et surtout, il doit tenter de monter l’exemple aux autres. Et même si Luis est romain, il sait que sa "réputation" est arrivée jusqu’à la colonie à la vue de tout ce qu’il a fait pendant la grande guerre contre Gaïa, même un abruti de faune devrait le savoir ça.
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Gleeson Hedge
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2 février 2017 - J'vois rouge là. Il m'a appelé comment ce petit merdeux? Ce cul-terreux qu'a des cils plus fournis que ceux d'une biche? Avec sa petite bouche en coeur qui m'insulte? Heureusement que j'ai pas ma batte, et que j'pense à Zhang et Reyna, parce que je lui aurai déjà refait le portrait à ce petit con qui se prend pour Christina Aguilera (je sais pas qui c'est, j'ai juste entendu des Aphrodite dire ça d'une romaine un soir, j'essaye de me moderniser sinon j'vais plus rien comprendre aux blagues des jeunes et j'vais être complètement largué!).
J'aime pas sa façon de le regarder. Peut-être que si j'lui arrache les yeux, ça lui fera assimiler la notion de respect. Comment ça? Ah non j'vous permets pas! J'ai pas été irrespectueux! J'ai juste été un peu trop cru. La provocation, y a que ça qui fait réagir les jeunes, j'l'ai appris à force d'entraîner les petits merdeux d'Arès que j'aime tant! Eh vous savez, se mettre Clarisse dans la poche, c'est pas facile! J'ai eu le droit à des insultes! Ah ouais, et je les répéterais pas parce qu'elles risques de vous faire salement rougir - elle en a dans la cervelle la p'tite Clarisse quand il s'agit d'insulter les gens! A votre avis, pourquoi c'est la marraine de Chuck? J'compte sur elle pour lui apprendre plein d'insultes qu'il lancera au Conseil des Sabot Fendus! Si Silène était encore en vie, il aurait hurlé! J'suis déjà mort de rire rien qu'à l'idée d'assister à ça.

En attendant, j'ai un p'tit brun qui se prend pour une star de la pop à remettre à sa place. J'fais craquer mes phalanges, et j'le regarde de haut. Enfin de bas. Vous pensez qu'un coup de pied dans l'entrejambe (enfin, de sabot) peut constituer un incident fortement diplomatique? Parce qu'il le mériterait bien! « Attends tu m'as appelé comment là? Espèce de petit morveux t'as encore l'âge de porter des couches-culottes alors pète pas plus haut que ton petit cul flasque! Et on dit chevreuil! J'ai sauvé plus de p'tit culs de demi-dieux que tu pourras jamais en entraîner, alors fais gaffe à c'que tu dis! » J'fronce les sourcils, j'enlève ma casquette et j'm'approche, j'plante mon doigt dans son plexus solaire et j'l'enfonce, parce que j'me retiens de pas lui refaire le portrait. « Si t'avais été un bébé satyre on t'aurait foutu du piment magique sur la langue, estime-toi heureux que j'en ai pas sur moi sinon tu serais déjà en train de vomir tes tripes. » Et j'le lâche. J'trouve que ces derniers temps j'ai fait un bon travail sur moi-même - et puis, Mellie me giflerait avec une bourrasque gelée si elle apprenait que j'm'étais encore battu, avec un romain cette fois.

Et il continue! J'vais vraiment le castrer, ça lui f'ra pas de mal. P'têt même que ça le calmera pour de bon tiens! Pourquoi vous croyez qu'on castre les chiens trop hargneux? Ah pour aboyer y a tout le monde, mais quand ça commence à menacer la masculinité y a plus personne! J'le vois comme un chihuahua ce demi-dieu. Un chihuahua dans lequel j'vais shooter comme un caillou s'il continue à m'chauffer. Il ose insulter ma batte de baseball! C'est trop! J'vais craquer! « Ecoute-moi bien Florès. J'ai buté plus de monstre avec cette batte de baseball que tu pourras le faire dans ta vie, alors ton petit coup de mépris tu peux le remballer, j'connais ça et tu m'auras pas. J'ai sauvé Héra avec, et j'ai aidé votre prêteuse à ramener l'Athéna Parténos jusqu'à la colonie pendant un sacré bout de chemin ce qui a sauvé vos petits culs donc un peu de respect, j'pense que ça t'écorchera pas la gueule, pas vrai?! » Ces demi-dieux, franchement, qui leur a appris le respect des aînés? Parce que toute leur éducation à refaire! Incapables de montrer un tant soi peu de considération! Il s'est peut-être battu, comme tout le monde, mais qu'il essaye même pas de remettre en question ma valeur de guerrier! M'insulter, c'est insulter le grand Norris, et ça c'est impardonnable!

Par contre, j'comprends rien à c'qu'il me baragouine. Il parle trop. Quand les gens parlent trop, ça m'énerve. « Et j'ai rien compris à ce que t'as raconté. Mais tu veux pas aussi lui embrasser la cheville peut-être? Qui sait ça pourra le soigner par magie. » J'continue sur ma lancée, parce qu'il m'a enclenché pour de bon là. J'vais pas m'arrêter avant de l'avoir terminé, ça fait du bien de s'lâcher un peu! J'pointe du doigt le gosse qu'est assis, et qui doit avoir envie de se cacher sous terre au vu de la tête qu'il tire. « Toi qui est un si grand guerrier, tu penses que le laisser assis à te regarder faire ça va l'aider à devenir un des plus grands? J'peux t'assurer que non. Au contraire ça va l'assagir et il va finir comme ces vieux lions dans la savane qui laissent les nanas tout faire à leur place! » C'est pour ça que j'aime pas les vieux lions! Ils se reposent trop sur leurs lauriers ces connards! En plus ils sont vaniteux! L'autre fois au zoo, vous savez pas ce que l'un d'entre eux m'a dit? Que mes cornes étaient minuscules! Sérieusement! Si y avait pas eu la vitre entre nous j'en aurai fait une peau, comme celle du lion de Némée!

J'm'approche du gosse. Non vous en faites pas j'vais pas le frapper, c'est pas après lui que j'en ai. J'attrape juste sa cheville - vu comment il s'mord les lèvres, il se retient de crier. Bien. Il est pas si mou que ça, ce p'tit. « En plus c'est qu'une entorse. J'en connais des qui se sont battus avec un bras en moins alors estime-toi heureux! » Que j'lance, à l'attention du blessé comme de Florès. J'suis pas délicat dans ma manière de lui prendre la jambe, mais c'est fait exprès - pensez pas que j'fais exprès de lui faire mal, aussi. J'teste son seuil de tolérance à la douleur, pour voir à quel point il s'est fait mal. C'est pas joli, mais c'est pas la mort non plus. J'pensais qu'il s'était fait un truc de ouf moi! Un petit coup de guérison, deux rois prières à l'attention de feu Pan, et c'est réglé - vous savez nous les satyres, en plus d'être beaux et talentueux, on a un petit talent de guérison. C'est utile quand on doit aller sauver un demi-dieux pas dégourdi pour un sou et qui tombe trop facilement aux mains des monstres. « Allez, lève-toi et marche! » Et ça, c'est fait. J'l'ai pas soigné complètement, parce que j'm'appelle pas Mère Theresa non plus - mais maintenant il peut marcher sans chouiner, ce fragile. Une fois y a quelques années j'ai affronté une manticore avec un bras complètement déboîtés, parce que l'autre était complètement anesthésié - me demandez pas comment j'ai fait, l'adrénaline sûrement. Ce truc fait des miracles.

Maintenant, j'ai un p'tit romain un peu trop fier à remettre à sa place. J'ai pas oublié qu'il m'a traité de clochard. Et d'agneau. Le petit de la chèvre, c'est le chevreuil pas l'agneau. S'il est pas fichu de savoir ça, il doit pas beaucoup en avoir dans la tête ce bambin. « C'est bien beau d'être un exemple, mais faut qu'ils se bougent le cul aussi. T'es p'têt un guerrier invincible, mais si tu veux les tailler à ton image, faut pas les ménager! Tu crois qu'Héraclès s'est forgé dans un p'tit lit douillet? Mes fesses oui! J'peux te parier mes cornes qu'il en a bavé plus que ça. » Et j'remets ma caquette, les sourcils toujours froncés, parce que hé, il m'a vraiment énervé. Moi j'suis venu, comme ça, pour l'aider et lui il m'insulte doublement! J'suis pas d'accord! Depuis quand on crache sur l'aide d'un expert comme moi? Les yeux fermés j'pourrais lui casser le nez!
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Luis commence à s’énerver face au vieux bouc. Il n’a jamais porté les faunes dans son cœur, car honnêtement à la Nouvelle Rome, se sont plus des parasites que des héros comme chez les grecs à la colonie des sangs-mêlés. D’autant plus que celui-là, il se permet de le critiquer dans sa façon de gérer l’entraînement de ses légionnaires. Pour qui se prend-t-il ce saligaud de Hedge ? Non, décidément, il ne se laissera pas faire, on le critique, il réagit immédiatement. Là, il le laisse juste parler, s’égosiller comme un petit oisillon qui cherche à se faire entendre, ou comme les hommes qui cherchent à savoir qui a la plus grosse. Et ça franchement, c’est pas le délire du fils de Trivia, au contraire, il a des préoccupations plus importantes que s’échiner à répondre aux moindres paroles du faune qui se prend pour un maître dans l’art du combat alors que tout le monde s’accorde à dire que la plupart du temps dans les affrontements, il se retrouve les quatre sabots en l’air à ne rien faire. De même, on a rapporté que sur l’Argo II, il se matait des films dans sa cabine pendant que les autres dérouillaient à cause des monstres sur les planches du navire volant. Alors non, il n’a rien à redire à l’entraînement que Luis donne à ses légionnaires. D’autant plus qu’il n’écoute qu’à moitié ce qu’il dit et que cela ne l’atteint même pas. Puis de toute façon, la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe comme on dit.
En réalité tout ce que Florès remarque, c’est que le faune va guérir la cheville du jeunot, et là, il lui en est néanmoins reconnaissant, car il faut bien l’avouer que ce pauvre con de Gleeson n’est pas un mauvais bougre non plus. Pourtant, le centurion n’en oublie pas pour autant qu’il se fait insulter impunément dans sa façon de gérer les choses, et il ne va pas se laisser faire. Et il se fait insulter tout court d’ailleurs, bon après c’est lui qui a commencé, mais c’était plutôt gentil, parce que quand il s’énerve le Brésilien a vraiment le sang chaud et commence à être plus que vulgaire. Pour le moment, il tente de se maîtriser afin de ne pas montrer le mauvais exemple aux légionnaires de sa cohorte. « Allez, lève-toi et marche ! » Le faune parle au jeune homme qu’il vient de soigner, mais comme Luis est toujours lié à lui grâce à son pouvoir, et donc il fait en sorte qu’il ne se lève pas en bloquant ses propres genoux, en lui donnant des impulsions pour l’intimer de ne rien faire. Rien que pour emmerder le faune d’ailleurs. Un léger sourire ironique flotte sur le visage du centurion, ravis de pouvoir en rajouter une couche d’ailleurs, car foi de romain, il ne se laissera pas faire par un pauvre mendiant, que son nom soit connu chez les grecs ou non. « C'est bien beau d'être un exemple, mais faut qu'ils se bougent le cul aussi. T'es p'têt un guerrier invincible, mais si tu veux les tailler à ton image, faut pas les ménager ! Tu crois qu'Héraclès s'est forgé dans un p'tit lit douillet ? Mes fesses oui ! J'peux te parier mes cornes qu'il en a bavé plus que ça. » Se faire comparer à Hercule ? Mais quelle est cette drôle de lubie ? Non mais il n’y a aucune comparaison possible entre eux deux, Luis n’est pas un cinglé, il n’a jamais assassiné sa propre femme ou ses enfants, remarque pour ça il faudrait qu’il en ait déjà.
Florès commence à sentir son sang bouillir à l’intérieur de ses veines, son rythme cardiaque est perceptible même au niveau de ses tempes, et il apprécie cette sensation, parce que cela fait longtemps qu’il cherche un moyen de se défouler. Et la cible parfaite, un pauvre vieux faune qui ouvre un peu trop sa grande gueule. « Écoute moi bien, j’ai pas d’ordre à recevoir de ta part. J’suis peut-être pas Hercule, mais j’ai été nommé centurion et ce n’est pas pour rien. Tu penses savoir mieux que moi ce qui convient à la légion peut-être ? J’peux t’organiser un rendez-vous avec Lupa, on verra si tu feras long feu devant elle. » Au moins c’est fait, il a dit ce qu’il avait à dire. Il finit par se diriger vers son arme qu’il prend dans sa main pour se remettre en piste avec les légionnaires de la quatrième cohorte. Il finit par se délier du jeune à la cheville foulée pour regarder le vieux bouc, tiens, d’ailleurs, pourquoi pas ? Plus il y réfléchit, plus il se dit que ce serait une bonne idée que de lui flanquer une bonne raclée pour qu’il ferme sa bouche et arrête de dire des choses mauvaises. « Tu sais quoi le mendiant ? Si j’ai décidé de le mettre de côté, c’est parce que je savais ce qu’il ressentait. J’ai le pouvoir de me lier physiquement à quelqu’un ou de lier des individus entre eux, et chacun ressent les douleurs de l’autre. Alors me fait pas de leçons de morale, je sais exactement ce que je fais. » Il s’approche de lui, son arme à la main, un regard mauvais au visage et une franche envie de lui envoyer son poing dans la gueule pour le mettre K.O. directement. Ce serait une bonne chose remarque, au moins il n’aurait plus à supporter des débilités proférées par un faux jeton qui ne sait même pas se battre. « En réalité t’as raison le gueux, je vais leur montrer l’exemple. Choisis ton arme parmi celles des légionnaires et montre moi ce que tu sais faire en combat, je te prouverais que j’ai toutes les raisons d’être centurion et que ma technique produit de bons soldats. » S’il refuse, il prouvera qu’il est faible, s’il décide d’accepter, je n’ai qu’à me lier à lui pour trouver les moindres impulsions de son corps pour pouvoir dévier toutes ses attaques avant et pouvoir ainsi remporter le combat facilement.
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2 février 2017 - Quand j'pense qu'à la base j'étais venu avec plein de bonnes intentions! Non seulement il crache sur ma merveilleuse aide (ce qui est une grossière erreur étant donné que j'ai plus d'expérience que ce petit merdeux n'en aura jamais dans sa vie) mais en plus il prend tout pour lui! Ah vraiment, je savais pas que les romains étaient aussi susceptibles et petites natures! Moi j'pensais qu'ils avaient été éduqués à la dure et qu'ils savaient prendre la critique sans trop ronchonner, mais faut croire qu'à force d'avoir passer du temps avec les meilleurs j'ai fini par surestimer les autres romains. Tant pis, ça m'apprendra à donner trop d'importance à ceux qui la méritent pas! Vous savez qu'il y a un proverbe (j'crois que c'est kurde ou turc c'est la même merde de toute façon) qui dit que si on accorde trop d'importance à un âne il finira par se prendre pour un cheval de course? Quand j'ai appris ça j'me suis dit qu'il faudrait que j'applique ce proverbe un jour, juste pour voir.
Ah me faites pas dire c'que j'ai pas dit! Je compare pas ce Florès à un âne! J'ai beaucoup plus de considération pour les demi-dieux, je supporte pas les ânes, ces saletés sont vraiment super médisantes et agressives. Bon, pas autant que les lamas ou aussi fiers que les lions, mais suffisamment pour qu'ils soient dans mon top 5 des animaux indésirables, tout en sachant que les dalmatiens sont en premier. Mais j'ai pas envie de parler. Rien que de penser à ces chiens brrr j'en ai des frissons.

Du coup le p'tit babla du fils de Trivia là, il passe par une oreille et il ressort par l'autre. Sa fierté elle est aussi fragile que du verre ma parole! Une petite critique et ça y est il part au quart de tour! Franchement, j'me demande comme il a survécu jusqu'ici s'il se prend la tête avec tous ceux qui le critiquent. Bon, y a peut-être aussi le fait que je l'impression un peu beaucoup, c'est pas tous les jours qu'on parle à une star donc il a dû paniquer! Le pauvre. J'aurai sûrement paniqué aussi si j'avais dû faire face à Chuck Norris. « Franchement, vous les romains vous avez vraiment une trop grosse fierté. Boum au moins petit truc vous partez au quart de tour? Le yoga ça aide bien à ce qu'on m'a dit! » Non vraiment, j'suis sérieux. J'hausse les épaules et j'secoue la tête, avant de tiquer. Il parle vraiment trop, ce p'tit.
Mendiant. Vraiment, ces romains ont aucun sens de la diplomatie. Pas étonnant que leur empire se soit effondré d'un coup! De vrais sauvages. C'est pour ça que j'préfère la colonie, j'me fais pas insulter à tous les coins de rue! Même Luca elle a du mal à pas faire le lapsus des fois! « Alors les poupées vaudoues c'est un peu ton délire? Flippant. » C'est glauque, quand on y pense. Et il me balance ça normal l'autre, vraiment, quand j'vous dit qu'ils ont aucun sens de la diplomatie ou de la discussion j'le pense.

Mais le Florès, il finit par r'monter un peu dans mon estime. Un combat! Ouais! J'avais justement envie de me dégourdir un peu - à la colo, c'est tellement mou, et la motivation générale a pris un sale coup du coup y a plus beaucoup de monde qui s'entraîne. A part les gosses d'Arès, mais eux, c'est normal, j'les aime ces p'tits gars - Clarisse en perd pas une pour aller foutre la misère à ses frères! « Ah! J'aime quand tu parles comme ça! Finalement t'es peut-être pas si mou! Tu r'montes dans mon estime! » Et bam j'lui file un coup dans l'épaule. Roh me r'gardez pas comme ça, vous savez tous que j'suis du genre lunatique. Et puis, vu la masse de ce gars, c'est pas une tape qui va le renverser - oubliez pas que j'me trimbale avec les Arès la plupart du temps. De vraies montagnes, surtout ce Buckley on dirait qu'il s'arrête jamais.
Oh pensez pas que j'suis aveugle. J'vois le mépris dans l'regard de Florès, mais j'ignore. Il a pas encore vu c'que j'sais faire, et puis, prendre les gens de haut on dirait que c'est tout ce qu'il sait faire donc j'laisse couler. Ouais ça m'arrive des fois. Dommage, aucun des légionnaires se bat avec une batte de baseball - mais eh, j'suis flexible! Et vous avez l'air d'oublier que j'suis coach, les armes, j'en connais un rayon! Du coup j'prends une épée, de type glaive, basique, mais c'est pas l'arme qui fait la victoire mais la valeur du combattant. « Essaye pas d'me prendre de revers avec ton pouvoir. » Parce que s'il s'y met, moi aussi j'peux le mettre à terre en deux-deux, il suffit juste que j'sorte ma flûte de pan et que j'joue un petit air endiablé pour qu'il se retrouvé saucissonné par des plantes. Qu'il essaye même pas de jouer le malin. J'veux bien la jouer fair play, mais faut qu'il fasse pareil de son côté aussi - honneur de romain, tout ça.
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à se battre avec les mots et les armes.
gleeson hedge && ewald von hammer


En réalité Ewald sait déjà qu'il va avoir du fil à retordre avec le satyre, parce qu'il va devoir jouer avec le fait que c'est un faune et que donc il a des facilités de déplacement que lui-même n'a pas. Le demi-dieu cependant ne se démonte pas et lui a proposé ce combat pour lui prouver qu'il sait ce qu'il fait et que sa méthode d'entraînement portera ses fruits, même si ce n'est pas tout de suite que les effets se verront. Puis d'autant plus que le centurion pense que faire en sorte d'avoir de la compassion pour son adversaire n'est pas une mauvaise chose, parce que cela laisse aussi la pitié, et c'est ce qui a grandement manqué lors des deux guerres qui viennent de secouer le monde mythologique. Von Hammer aimerait qu'on arrête de douter de lui, mais rien qu'à voir l'état psychologique dans lequel il se trouve il se doute que les racontars vont bon train. Mais il ne va pas rester là, à se laisser insulter par un faune, un faune quoi ! Il sait que l'honneur de la légion découle de ses compétences et s'il doit se prendre une tollé, ce sera avec honneur qu'il se relèvera. Puis il ne dit pas son dernier mot tout de suite, parce qu'il doit faire son maximum, il doit absolument réussir à le battre, coûte que coûte. La honte s'il perd quoi. Enfin déjà avant de vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, il faut que le faune accepte le combat.
En réalité la remarque du faune sur son pouvoir est plutôt amusante, les gens trouvent tous ce dont il est capable très dérangeant et horrible, car en effet il est possible de faire des choses horribles. Puis maintenant Ewald attend la réponse quant au combat. « Ah ! J'aime quand tu parles comme ça ! Finalement t'es peut-être pas si mou ! Tu r'montes dans mon estime ! » Puis le faune file dans les individus l'entourant pour trouver une arme comme il veut, le centurion le regarde faire en oscillant le regard vers lui. Quand il voit que Gleeson se saisit d'un glaive, Von Hammer sait que ça va être corsé, parce que lui se bat avec une arme plutôt longue, mais tant pis, il fera avec. « Essaye pas d'me prendre de revers avec ton pouvoir. » Bon, pour être honnête, le fils de Trivia songeait le faire, mais plus il y pense, moins il se dit que c'est une bonne chose, et comment le cacher ? Ce que Ewald ressent physiquement, le faune le ressentira aussi. Puis il n'a jamais tenté de se lier avec une créature mythologique, alors autant ne pas tenter le diable.
Ils se mettent donc face à face, avec les autres légionnaires autour, et se jaugent du regard. L'allemand a son arme en mains, regarde son adversaire en essayant de trouver une faille, essayant de savoir d'avance où il va frapper pour tenter de le désarçonner. Il n'y a plus un mot, pas un son qui s'échappe du corps du centurion car se serait se trahir, et il ne veut rien montrer, c'était comme s'il déconnectait ses émotions de son corps. Alors il s'élance avec une précision inouïe, sachant déjà où il va frapper. Le problème c'est qu'il se retrouve vite en échec face à son adversaire, son attaque loupe et il dévoile un point faible à Hedge. C'est mal barré pour le départ.

attaque décidée grâce au dé.
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« à se battre avec les mots et les armes. » GLEWALD.
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